Salle de maintenance

Salle de maintenance banale, menant à un passerelle qui traverse le réacteur.

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*Sean arrive dans la salle de maintenance, avec le groupe. *

Sean : Bon, et avec ça, on pourrait pas démarrer le réacteur et lui brûler sa sale gueule ?

Gaby : On va voir ça ...

* Gaby cherche les commandes d'auto-destruction manuelles, et cherche s'il y a un retardateur*

Gaby : Bastien, aide moi, je ne sais pas si les commandes sont manuelles ou électroniques ... S'il te plait. *lui souris*

Bastien : Hey, je ne suis pas un manuel d'utilisation de poche. Enfin, j'pense que tu voulais dire "informatique".

* Bastien s'approche de Gaby. *

Bastien : Déjà, voir s'il n'y a pas une gros bouton rouge ou autre chose. Peut-être qu'il faut juste une autorisation, aussi... on ne vous apprend pas à faire péter un réacteur en école d'ingénieurs ?

* Bien sûr, il a dit tout ça avec une voix très calme et assez lente. *

Sean : C'est vrai qu'un gros bouton rouge qui prend la moitié du panneau de contrôle avec marqué en gros, au dessus " Bouton d'autodestruction, ne pas appuyer s'il vous plait ", serait le bienvenu...

*Sean passe ses mains dans son dos et regarde ses compagnons. *

* Gaby se tourne vers Bastien et répond calmement en réfléchissant.*

Gaby : Activer et fabriquer des bombes, oui ... Faire péter un réacteur ... Si on était tous des malades, je comprends qu'ils ne nous aient pas appris ça. *souris*

Bastien : C'est pas très logique tout ça... un fou, ça fait aussi péter des bombes.

* Bastien regarde attentivement le tableau de bord, afin de voir si quelque chose lui paraît familier dessus, genre quelque chose qu'il connaît déjà ou autre. *

Bastien : Et à ma connaissance, personne n'a fait péter de bombe, dans le groupe. Du moins, pour l'instant.

Sean : ça dépend de ce que tu entends... L'avant station, ça compte ?

Bastien : On vous force à faire péter des bombes, à l'armée ? C'était pour démanteler un réseau terroriste, c'est ça ?

Sean : Nope. Pour détruire des infos d'une base ennemie, après les avoir récupérées et transférées sur un disque dur. Pas mal, hein ?

Bastien : Et la base ennemie... elle était pleine... ? J'veux dire, les forces ennemies étaient encore dedans ou bien... ?

Sean : Bien sûr. Mais la plupart des hommes n'étaient plus en vie. C'était... intense, à chaque fois. Surtout lors des opérations jointes. C'était chiant.

*" Alix: Faire exploser le réacteur déclencherait théoriquement une dépressurisation immédiate pour contenir l'incendie, en gros, nous allons être désintégré en moins de 5 secondes, savoir où courir ne nous aidera pas... Mais sinon elle est de l'autre côté de la zone de maintenance, sur la plateforme de ravitaillement "*

* Amy regarde un peu partout dans la salle

Amy : Y a pas de système d'autodestruction...

* La commande pour la mise en route des réacteurs est informatiques mais pour pouvoir l'activer, il faut un échantillon vocal du responsable de la station ainsi qu'un code de validation qui est délivré aléatoirement lorsque la demande de mise en route du réacteur est envoyé *

* Gaby retire son casque, croise les bras et se tourne vers Sean.*

Gaby : Hm je peux rien faire.

Bastien : Ah ouais, si on se retrouve dans l'espace, ça risque d'être embêtant...

* Bastien se pose contre un mur, avant de croiser les bras. *

Bastien : Dans tout les cas, impossible de désactiver le réacteur sans l'autre trou du cul qui dirige la station. Il s'appelle comment, déjà ?

Gaby : Dominic, non ?

Bastien : Ouais, voilà... il s'est sûrement barré comme un lâche depuis belle lurette, d'ailleurs.

* Bastien souffle longuement, avant de reprendre. *

Bastien : Donc on est baisé, car généralement... l'échantillon de voix en question doit contenir une séquences de mot ou une phrase. Et ça, on peut pas le deviner tout seul. Sauf si la machine garde en mémoire chaque ouverture de la part de l'utilisateur. Après, pour le mot de passe... c'est encore plus chiant.

Sean : Tu pourrais pas faire un override ? Ou je sais pas quelle connerie, encore ? Parce que sinon, je crois qu'on va devoir aller remettre le monstre à sa place, avec nos pauvres armes et l'environnement...

Bastien : J'vais voir ce que je peux trouver...

* Bastien se met donc devant les commandes, avant de les regarder durant quelques secondes, ne sachant pas trop par où commencer. Il se lance au bout d'une trentaine de secondes, en ayant pour but de voir s'il peut récupérer un échantillon de voix de Dominic et pourquoi pas le bon permettant de déverrouiller en partie les commandes du réacteur. *

* Aucun échantillon de voix n'est récupérable

* Alix se balade un peu et Amy regarde ce que fait Bastien. Finch fait tourner son fusil dans la main *

*Sean regarde le chemin pour aller vers la passerelle, avant de soupirer. *

Bastien : Merde !

* Bastien donne un violent coup de bras, qui passe à travers toute la façade de l'interface, vu que cette dernière est holographique. Puis il se retourne vers les autres. *

Bastien : Rien à faire pour la sécurité... on ne peut accéder à rien à partir d'ici. Va falloir trouver autre chose.

Gaby : On va quand même pas envoyer quelqu'un se faire tuer ?

* Zack est à l'écart des autres, bras croisés, il fixe le plafond.*

*Sean se retourne et fixe Bastien et Gabrielle*

Sean : Et même les contrôles de base du réacteurs ne sont pas accessibles ? Il me semble qu'il y a des volets qui peuvent se fermer, en cas d'urgence, non ? Si y en a et qu'on peut les activer, ça pourrait couper les tentacules, ou au moins les empêcher de sortir.

*Sean regarde ensuite vers la passerelle*

Sean : Sinon, on va devoir aller au casse-pipe...

* Zack soupire et se rapproche du groupe.*

Zack : Faut faire quoi ? J'irais.

Gaby : *lève les yeux au ciel* Jouez pas le héros, ça vous apportera rien.

Zack : Ici ou ailleurs j'ai plus beaucoup de temps devant moi. Autant que je sois utile.

Bastien : J'en sais rien Sean... je sais juste que ce fils de pute a tout prévu et...

* Bastien se retourne subitement vers Zack, en entendant sa proposition. *

Bastien : ... vous êtes malade, c'est ça ? Je veux dire... une pathologie.